Il existe 3 types de véhicules verts :
La pollution de l’air et le changement climatique sont devenus des enjeux de plus en plus pressants aujourd’hui. Les activités humaines émettent dans l’atmosphère des gaz à effet de serre, ainsi que d’autres polluants, avec les énergies fossiles.
Pour le transport, l’impact est estimé à 30 % des émissions de CO2, 57 % des émissions de NOx (oxydes d’azotes) et 17 % des émissions de particules fines.
De nombreux pays cherchent à privilégier les moteurs électriques pour limiter cet impact.
Une Zone à Faible Emissions est un périmètre où la circulation automobile peut être restreinte ou interdite. Les collectivités concernées définissent les critères d’accès des véhicules en fonction de leurs objectifs de réduction des émissions polluantes.
En France, les communes et intercommunalités qui dépassent “de manière régulière” les normes de qualité de l’air doivent mettre en place une ZFE. Après Paris, le Grand Paris, Lyon et Grenoble, 7 villes vont instaurer des ZFE en 2021 : Aix-Marseille, Nice, Rouen, Strasbourg, Toulon et Toulouse.
Les véhicules thermiques à faibles émissions ou les véhicules électriques peuvent circuler librement dans ces zones. Les autres véhicules ont un accès limité (circulation alternée) voire interdit. Pour l’entreprise, c’est sa continuité de service qui est menacée…
En France, les ZFE couvrent une population de 23 millions de personnes.
Pour inciter à l’achat d’un véhicule vert, l’état français offre 2 principales aides financières :
Certaines collectivités offrent des subventions en plus dans le cadre de l’amélioration de la politique de l’air. Téléchargez notre livre blanc pour tout savoir sur les aides disponibles pour la conduite d’un véhicule vert !